Ce décret étend à certains agents de la fonction publique de l'Etat la possibilité déjà prévue pour les fonctions publiques territoriale et hospitalière d'utiliser, à l'issue d'un congé de maternité, d'adoption, de paternité et d'accueil de l'enfant ou d'un congé de solidarité familiale, les droits épargnés sur un compte épargne-temps sans que les nécessités de service soient opposées.
Il instaure également ce droit, dans les trois versants de la fonction publique, au retour d'un congé de proche aidant.